De l’importance de cuire tout doucement…et longtemps !

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Jamais au-dessus de 120 degrés…

Votre cerveau est-il aussi rétif que le mien aux chiffres, et surtout ceux qu’il est impératif de retenir ?

Si c’est le cas, soyez sûr qu’en ne retenant que celui-ci, 120 degrés, vous allez vous transformer en Vatel version 21ème siècle. A vous toutes les viandes fondantes de 3ème catégorie – joue et queue de boeuf, paleron…- gigot et autre souris d’agneau fondants, gorgés de vos parfums préférés- menthe, citron, gingembre, curry…- Je ne connais pas d’autre mode de cuisson aussi simple et savoureux que celui-ci. Inratable, simplissime, et surtout peu chronophage – garanti-, adopté dès la 1ère utilisation…

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Cette méthode de cuisson en basse température, pendant très longtemps, est celle préconisée par Monsieur Alain Ducasse pour son gigot de 7h. Vous la trouverez immédiatement sur internet.

Etapes capitales à respecter selon moi : – pour les autres, on peut toujours s’arranger…-

  • choisir les morceaux réputés les moins nobles chez le boucher, riches en collagène, et les faire rissoler avant mijotage
  • soigner le fond de poêlage pour donner du goût, du goût et surtout DU GOUT ! Allez-y franchement sur les épices, les herbes fraîches, la garniture aromatique, un bon bouillon bien corsé de viande, un bon vin rouge ou blanc. Rien de pire qu’un jus fade.
  • lutter votre cocotte au moyen d’une pâte morte pour garantir un mijotage hermétique
  • OUBLIER sa cocotte au minimum 7h au four à 120 degrés, JAMAIS PLUS FORT. 10h, 12h….chairs encore plus fondantes !

Vos carottes ou navets cuits ainsi avec la viande, seront absolument fondants mais jamais trop cuits.

Alors, vous cuisinez quoi cette semaine ? Moi je sais !

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Tata Marion

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